1. BernardNowman le 12-09-2024 à 16:17:55 (site)
magnifique article mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeee (l) my always d'amour (l) à moi
2. gladys-lemire le 12-09-2024 à 17:09:12 (site)
poéme
Rêvez, poussins de l’univers,
Aux doux parfums des fleurs champêtres…
Rangez vos armes de pervers
Tuant le plus beau de votre être !
Pauvres enfants, avez-vous su
Jamais combien l’amour transforme
Un combat de jiu-jitsu
En une danse hors la norme ?
Et vous « gros durs », terreurs des rues,
Songez un peu que l’avenir
Ferme sa porte à votre vue,
Car il ne peut que vous punir !
Heureux le bon, celui qui donne,
Car il ne vole qu’à l’air pur :
On l’aimera pour sa personne
Quand le méchant va droit au mur !
3. gladys-lemire le 12-09-2024 à 17:10:03 (site)
1. gladys-lemire le 09-09-2024 à 16:07:55 (site)
Ma petite prose
très jolie image ma passion de création
Alone veut dire seule
mais seule on ne l'est jamais vraiment , dehors il fait si beau;
dame nature vas bientôt se revêtir de chaudes couleurs.
J"ai rencontré monsieur dutin ,et lui ais dit bien le bonjour à vôtre dame;
en lui tendent un petit panier d'oeuf de mes poules.
Et au petit vent j'ai dis merveilleux, le soleil lui était cacher derrière un gros nuage.
Gladys
2. BernardNowman le 09-09-2024 à 16:11:57 (site)
magnifique article et joliii poéme mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
1. gladys-lemire le 07-09-2024 à 17:06:52 (site)
poéme
Près des ruisseaux, près des cascades,
Dans les champs d’oliviers fleuris,
Sur les rochers, sous les arcades
Dont le temps sape les débris,
Sous les murs du vieux monastère.
Dans le bois qu’aime le mystère,
Sous l’ombre du pin solitaire,
Sous le platane aux frais abris ;
A l’heure où, sous l’humble chaumière.
Le chevrier prend son repas,
A l’heure où brille la lumière,
A l’heure où le jour ne luit pas ;
L’été, quand sous le vert ombrage
Tu viens t’asseoir après l’ouvrage :
L’hiver, par le froid, par l’orage ;
Toujours, partout, je suis tes pas.
2. gladys-lemire le 07-09-2024 à 17:08:11 (site)
jtaime mon ti nhomme to me
3. BernardNowman le 07-09-2024 à 17:08:19 (site)
c magnifique mon amour (l) nice beautiful
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
1. gladys-lemire le 06-09-2024 à 12:25:05 (site)
poeme
Stoïques
ils se laissent dépouiller
par l’automne
et restent dignes
malgré la chute
des feuilles
Leur deuil
silencieux
se drape d’une toge
de candeur
lorsque vient l’hiver
leur embaumeur
Pourtant la sève
persévère
et circule
Sa foi en le printemps
ne tarde pas à porter ses fruits
En été arbres vous devenez
des oasis d’ombre
Et votre silence parfois est traversé
des bruits de la vie
Ayons votre passion sédentaire
et vos rêves nomades
mystérieuses présences
de bois
artisans
de la vraie sagesse
2. gladys-lemire le 06-09-2024 à 12:29:48 (site)
jolie journée de septembre mon amour; la nature est magnifique,avec de nex senteur de saison aux petits matins frai (l)
3. bernardnowman le 06-09-2024 à 12:46:58 (site)
magnifique article et joli poéme mon amour (l)
merciii ma ptite femme d'amour (l)
je t'aimeeeeeeeee (l) my always d'amour (l) à moi
Commentaires
1. gladys-lemire le 14-09-2024 à 15:40:57 (site)
très joli me love
2. gladys-lemire le 14-09-2024 à 15:48:44 (site)
poeme
Blocus sentimental ! Messageries du Levant !…
Oh, tombée de la pluie ! Oh ! tombée de la nuit,
Oh ! le vent !…
La Toussaint, la Noël et la Nouvelle Année,
Oh, dans les bruines, toutes mes cheminées !…
D’usines….
On ne peut plus s’asseoir, tous les bancs sont mouillés ;
Crois-moi, c’est bien fini jusqu’à l’année prochaine,
Tant les bancs sont mouillés, tant les bois sont rouillés,
Et tant les cors ont fait ton ton, ont fait ton taine !…
Ah, nuées accourues des côtes de la Manche,
Vous nous avez gâté notre dernier dimanche.
Il bruine ;
Dans la forêt mouillée, les toiles d’araignées
Ploient sous les gouttes d’eau, et c’est leur ruine.
Soleils plénipotentiaires des travaux en blonds Pactoles
Des spectacles agricoles,
Où êtes-vous ensevelis ?
Ce soir un soleil fichu gît au haut du coteau
Gît sur le flanc, dans les genêts, sur son manteau,
Un soleil blanc comme un crachat d’estaminet
Sur une litière de jaunes genêts
De jaunes genêts d’automne.
Et les cors lui sonnent !
Qu’il revienne….
Qu’il revienne à lui !
Taïaut ! Taïaut ! et hallali !
Ô triste antienne, as-tu fini !…
Et font les fous !…
Et il gît là, comme une glande arrachée dans un cou,
Et il frissonne, sans personne .
3. BernardNowman le 14-09-2024 à 15:59:06 (site)
magnifique article et jolii poéme mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi