1. gladys-lemire le 15-11-2024 à 13:10:41 (site)
Poème
La rivière s’écoule avec lenteur. Ses eaux
Murmurent, près du bord, aux souches des vieux aulnes
Qui se teignent de sang ; de hauts peupliers jaunes
Sèment leurs feuilles d’or parmi les blonds roseaux.
Le vent léger, qui croise en mobiles réseaux
Ses rides d’argent clair, laisse de sombres zones
Où les arbres, plongeant leurs dômes et leurs cônes,
Tremblent, comme agités par des milliers d’oiseaux.
Par instants se répète un cri grêle de grive,
Et, lancé brusquement des herbes de la rive,
Etincelle un joyau dans l’air limpide et bleu ;
Un chant aigu prolonge une note stridente ;
C’est le martin-pêcheur qui fuit d’une aile ardente
Dans un furtif rayon d’émeraude et de feu.
2. gladys-lemire le 15-11-2024 à 13:11:50 (site)
jtaime mon ti nhomme to me
3. bernardnowman le 15-11-2024 à 13:14:57 (site)
magnifique article et joli poeme mon amour (l) je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
1. gladys-lemire le 13-11-2024 à 12:36:46 (site)
joli bb le article merci de poser por moi jtaime (l)
2. gladys-lemire le 13-11-2024 à 12:43:05 (site)
ti poème
Dans les lignes de ta main
Pour me plaire j’y veux voir
Que rien ne nous sépare
Et qu’avons même destin.
Dans les lignes de ta main
Je découvre en cherchant
Les signes bienfaisants
De ce qui me convient.
Dans le creux de ta paume
Où ma main se blottit
Je retrouve mon abri
Doux et calme. Comme un baume.
3. bernardnowman le 13-11-2024 à 12:56:12 (site)
magnifique article mon amour (l) et jolii poeme
je t'aimeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
1. gladys-lemire le 10-11-2024 à 13:25:25 (site)
poème
Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses,
Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux,
Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux,
Les femmes, les chevaux, les lauriers et les roses.
Il faut fouler aux pieds des fleurs à peine écloses ;
Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux.
Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux,
Et l’effet qui s’en va nous découvre les causes.
De ces biens passagers que l’on goûte à demi,
Le meilleur qui nous reste est un ancien ami.
On se brouille, on se fuit. Qu’un hasard nous rassemble,
On s’approche, on sourit, la main touche la main,
Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble,
Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain.
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2. gladys-lemire le 10-11-2024 à 13:26:43 (site)
love you so much me love
3. bernardnowman le 10-11-2024 à 13:34:00 (site)
magnifique article mon amour (l) et joli poeme
je t'aimeeeeeeee (l) my always d'amour (l) à moi
1. gladys-lemire le 09-11-2024 à 15:07:53 (site)
poéme
Vous avez envoyé
Le Ciel a de jeunes pâturages
Tendres, vers un palais triste et vermeil :
Un Essaim d’Heures sauvages
Guide Pasiphaé, petite-fille du Soleil.
Des troupeaux silencieux du ciel,
Un nuage, un doux taureau s’écume,
Se détache, avec le souci réel
Du Baiser qui l’arrose et la parfume.
Et ces neiges, fraîcheur et ferveur,
Au ciel des étreintes fatales,
S’unissent, ô Douleur !
Le taureau roule sur la prairie idéale.
La Passion plus doucement encore a lui
Sous le Baiser qui les parfume et les arrose,
Ils s’absorbent au ciel qui les absorbe en lui.
Reste seule la bave du Baiser, amère et rose.
Le Couchant a brûlé comme un palais,
Et le ciel s’aveugle avec les cendres
Qu’un Dieu noir chasse avec un balai.
Vénus, diamant et feu, au jardin d’amour, va pendre.
2. BernardNowman le 09-11-2024 à 15:20:39 (site)
magnifique article mon amour (l) et joliii poeme
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
3. cricriangel le 13-11-2024 à 13:21:37 (site)
Je découvre ton blog qui est bien sympathique de par tes jolies créations , je te dis bravo . Je te souhaite une excellente journée
Commentaires
1. gladys-lemire le 17-11-2024 à 14:35:00 (site)
poème
Le ciel se fait lourd quand râlent les pupitres
Annonçant dans la cour un vide insoutenable
Et le cœur enchaîné, sous la coiffe du pitre,
S’entrechoque aux paroles de maîtres de sérénades.
Les rêveries s’élèvent et frôlent l’amertume
Des sombres feuilles folles qui tangent en narguant
Les évadés punis, aux mains griffées de plumes
Dont leur omniprésence n’en fait que des absents.
Quand grincent les miroirs aux couleurs de la nuit,
Annonçant la tempête au fond des encriers,
Une larme de pluie se transforme en l’ennui
D’une vie qui s’achève dès la fin de l’été.
2. gladys-lemire le 17-11-2024 à 14:36:32 (site)
très joli mon ti nhomme gros doux bisous
3. bernardnowman le 17-11-2024 à 14:49:17 (site)
magnifique article et jolii poeme mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeee (l) ma chouchounette d'amour always (l) à moi