Titre du blog : nature Auteur : BernardNowman Date de création : 09-06-2024
posté le 09-11-2024 à 15:00:24
OR
Commentaires
cricriangelle 13-11-2024 à 13:21:37 Je découvre ton blog qui est bien sympathique de par tes jolies créations , je te dis bravo . Je te souhaite une excellente journée
BernardNowmanle 09-11-2024 à 15:20:39 magnifique article mon amour (l) et joliii poeme
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
gladys-lemirele 09-11-2024 à 15:07:53 poéme
Vous avez envoyé
Le Ciel a de jeunes pâturages
Tendres, vers un palais triste et vermeil :
Un Essaim d’Heures sauvages
Guide Pasiphaé, petite-fille du Soleil.
Des troupeaux silencieux du ciel,
Un nuage, un doux taureau s’écume,
Se détache, avec le souci réel
Du Baiser qui l’arrose et la parfume.
Et ces neiges, fraîcheur et ferveur,
Au ciel des étreintes fatales,
S’unissent, ô Douleur !
Le taureau roule sur la prairie idéale.
La Passion plus doucement encore a lui
Sous le Baiser qui les parfume et les arrose,
Ils s’absorbent au ciel qui les absorbe en lui.
Reste seule la bave du Baiser, amère et rose.
Le Couchant a brûlé comme un palais,
Et le ciel s’aveugle avec les cendres
Qu’un Dieu noir chasse avec un balai.
Vénus, diamant et feu, au jardin d’amour, va pendre.
Commentaires
Je découvre ton blog qui est bien sympathique de par tes jolies créations , je te dis bravo . Je te souhaite une excellente journée
magnifique article mon amour (l) et joliii poeme
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
poéme
Vous avez envoyé
Le Ciel a de jeunes pâturages
Tendres, vers un palais triste et vermeil :
Un Essaim d’Heures sauvages
Guide Pasiphaé, petite-fille du Soleil.
Des troupeaux silencieux du ciel,
Un nuage, un doux taureau s’écume,
Se détache, avec le souci réel
Du Baiser qui l’arrose et la parfume.
Et ces neiges, fraîcheur et ferveur,
Au ciel des étreintes fatales,
S’unissent, ô Douleur !
Le taureau roule sur la prairie idéale.
La Passion plus doucement encore a lui
Sous le Baiser qui les parfume et les arrose,
Ils s’absorbent au ciel qui les absorbe en lui.
Reste seule la bave du Baiser, amère et rose.
Le Couchant a brûlé comme un palais,
Et le ciel s’aveugle avec les cendres
Qu’un Dieu noir chasse avec un balai.
Vénus, diamant et feu, au jardin d’amour, va pendre.