VEF Blog
Titre du blog :
nature
Auteur :
BernardNowman
Date de création :
09-06-2024
posté le 10-12-2024 à 13:37:27
MERRY CHRISTMAS
Commentaires
gladys-lemire
le 10-12-2024 à 14:23:23
ya mon bb (l) très joli articl(l)
jtaime très fort (l)
BernardNowman
le 10-12-2024 à 14:18:38
magnifique article mon amour (l) et il es jolii le poeme
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
gladys-lemire
le 10-12-2024 à 13:55:16
poème
Au vent joyeux de la bonne nouvelle
L’étable s’ouvre; et sa merveille est telle
Que les naïfs bergers en sont troublés.
Illuminant la crèche sombre encore,
L’Enfant paraît en un orbe d’aurore,
Plus blond que l’or des méteils et des blés.
Tout reluit sous l’humble chaume en ruine;
Tout y rutile. Ô nuits de Palestine,
De vos ciels d’aube pâle, est-ce un reflet?
Lune magique, est-ce ton sortilège?
Est-ce l’éclat de ta blancheur de neige?
Est-ce ton charme, ô bel enfantelet?
Un homme est là, grave comme en un temple;
Hiératique, il admire, il contemple,
Ne sachant plus que bénir à genoux.
Dans son long voile et dans sa blanche robe,
Pudique et belle, aux regards se dérobe
Une humble femme au profil triste et doux.
Couple candide, ils restent sans parole,
Le front ceint d’une opaline auréole,
Navrés d’amour et de ravissement.
Le père exulte, et la mère soupire;
Tendre, elle fait effort pour lui sourire,
Mais son sourire expire tristement.
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ya mon bb (l) très joli articl(l)
jtaime très fort (l)
magnifique article mon amour (l) et il es jolii le poeme
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
poème
Au vent joyeux de la bonne nouvelle
L’étable s’ouvre; et sa merveille est telle
Que les naïfs bergers en sont troublés.
Illuminant la crèche sombre encore,
L’Enfant paraît en un orbe d’aurore,
Plus blond que l’or des méteils et des blés.
Tout reluit sous l’humble chaume en ruine;
Tout y rutile. Ô nuits de Palestine,
De vos ciels d’aube pâle, est-ce un reflet?
Lune magique, est-ce ton sortilège?
Est-ce l’éclat de ta blancheur de neige?
Est-ce ton charme, ô bel enfantelet?
Un homme est là, grave comme en un temple;
Hiératique, il admire, il contemple,
Ne sachant plus que bénir à genoux.
Dans son long voile et dans sa blanche robe,
Pudique et belle, aux regards se dérobe
Une humble femme au profil triste et doux.
Couple candide, ils restent sans parole,
Le front ceint d’une opaline auréole,
Navrés d’amour et de ravissement.
Le père exulte, et la mère soupire;
Tendre, elle fait effort pour lui sourire,
Mais son sourire expire tristement.