Titre du blog : nature Auteur : BernardNowman Date de création : 09-06-2024
posté le 03-10-2024 à 16:39:19
DIE MARIONETTE
Commentaires
BernardNowmanle 03-10-2024 à 16:58:58 ouiiiiiii de rien my love (l) à moi
magnifique article et poème mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeeeee (l)ma ptite femme d'amour always (l) à moi
gladys-lemirele 03-10-2024 à 16:55:58 Lamitié
Dans l'ensemble de ces relations, Aristote distingue trois types d'amitiés : l'amitié utile, fondée sur l'intérêt, l'amitié agréable, qui repose sur le plaisir, et enfin l'amitié, plus rare et plus exigeante, qui a pour fondement la vertu et pour but le bien.
gladys-lemirele 03-10-2024 à 16:54:27 merci pour le genti conpliment love you (l)
gladys-lemirele 03-10-2024 à 16:53:03 poeme
Dans le Verger où sont les arbres de lumière,
La pulpe des fruits lourds pleure ses larmes d’or,
Et l’immense Bagdad s’alanguit et s’endort
Sous le ciel étouffant qui bleuit la rivière.
Il est deux heures. Les palais silencieux
Ont des repas au fond des grandes salles froides
Et Sindbad le marin, sous les tentures roides,
Passe l’alcarazas d’un air sentencieux.
Mangeant l’agneau rôti, puis les pâtes d’amandes,
Tous laissent fuir la vie en écoutant pleuvoir
Les seaux d’eau qu’au seuil blanc jette un esclave noir.
Commentaires
ouiiiiiii de rien my love (l) à moi
magnifique article et poème mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeeeeee (l)ma ptite femme d'amour always (l) à moi
Lamitié
Dans l'ensemble de ces relations, Aristote distingue trois types d'amitiés : l'amitié utile, fondée sur l'intérêt, l'amitié agréable, qui repose sur le plaisir, et enfin l'amitié, plus rare et plus exigeante, qui a pour fondement la vertu et pour but le bien.
merci pour le genti conpliment love you (l)
poeme
Dans le Verger où sont les arbres de lumière,
La pulpe des fruits lourds pleure ses larmes d’or,
Et l’immense Bagdad s’alanguit et s’endort
Sous le ciel étouffant qui bleuit la rivière.
Il est deux heures. Les palais silencieux
Ont des repas au fond des grandes salles froides
Et Sindbad le marin, sous les tentures roides,
Passe l’alcarazas d’un air sentencieux.
Mangeant l’agneau rôti, puis les pâtes d’amandes,
Tous laissent fuir la vie en écoutant pleuvoir
Les seaux d’eau qu’au seuil blanc jette un esclave noir.
Les passants curieux lui posent des demandes.
C’est Sindbad le marin qui donne un grand repas !
C’est Sindbad, l’avisé marin dont l’opulence
Est renommée et que l’on écoute en silence.
Sa galère était belle et s’en allait là-bas !
Il sent bon, le camphre et les rares arômes.
Sa tête est parfumée et son nez aquilin
Tombe railleusement sur sa barbe de lin :
Il a la connaissance et le savoir des hommes.