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Titre du blog :
nature
Auteur :
BernardNowman
Date de création :
09-06-2024
posté le 05-09-2024 à 14:29:03
SIMPLEMENT
Commentaires
BernardNowman
le 05-09-2024 à 14:42:58
ouiii mon amour (l) c magnifique et le poéme ossi
je t'aimeeeeeeeee (l) ma chouchounette d'amour (l) à moi
gladys-lemire
le 05-09-2024 à 14:39:19
cé joli mon ti nhomme damour to me (l)
gladys-lemire
le 05-09-2024 à 14:37:45
poéme
Comme aux âges naïfs, je t’ai donné mon coeur,
Ainsi qu’une ample fleur,
Qui s’ouvre pure et belle aux heures de rosée ;
Entre ses plis mouillés ma bouche s’est posée.
La fleur, je la cueillis avec des doigts de flamme,
Ne lui dis rien : car tous les mots sont hasardeux
C’est à travers les yeux que l’âme écoute une âme.
La fleur qui est mon coeur et mon aveu,
Tout simplement, à tes lèvres confie
Qu’elle est loyale et claire et bonne, et qu’on se fie
Au vierge amour, comme un enfant se fie à Dieu.
Laissons l’esprit fleurir sur les collines
En de capricieux chemins de vanité,
Et faisons simple accueil à la sincérité
Qui tient nos deux coeurs vrais en ses mains cristallines
Et rien n’est beau comme une confession d’âmes
L’un à l’autre, le soir, lorsque la flamme
Des incomparables diamants
Brûle comme autant d’yeux
Silencieux
Le silence des firmaments.
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Commentaires
ouiii mon amour (l) c magnifique et le poéme ossi
je t'aimeeeeeeeee (l) ma chouchounette d'amour (l) à moi
cé joli mon ti nhomme damour to me (l)
poéme
Comme aux âges naïfs, je t’ai donné mon coeur,
Ainsi qu’une ample fleur,
Qui s’ouvre pure et belle aux heures de rosée ;
Entre ses plis mouillés ma bouche s’est posée.
La fleur, je la cueillis avec des doigts de flamme,
Ne lui dis rien : car tous les mots sont hasardeux
C’est à travers les yeux que l’âme écoute une âme.
La fleur qui est mon coeur et mon aveu,
Tout simplement, à tes lèvres confie
Qu’elle est loyale et claire et bonne, et qu’on se fie
Au vierge amour, comme un enfant se fie à Dieu.
Laissons l’esprit fleurir sur les collines
En de capricieux chemins de vanité,
Et faisons simple accueil à la sincérité
Qui tient nos deux coeurs vrais en ses mains cristallines
Et rien n’est beau comme une confession d’âmes
L’un à l’autre, le soir, lorsque la flamme
Des incomparables diamants
Brûle comme autant d’yeux
Silencieux
Le silence des firmaments.