1. gladys-lemire le 15-10-2024 à 12:54:36 (site)
POEME
Passer ses jours à désirer,
Sans trop savoir ce qu’on désire ;
Au même instant rire et pleurer,
Sans raison de pleurer et sans raison de rire ;
Redouter le matin et le soir souhaiter
D’avoir toujours droit de se plaindre ;
Craindre quand on doit se flatter,
Et se flatter quand on doit craindre ;
Adorer, haïr son tourment ;
À la fois s’effrayer, se jouer des entraves ;
Glisser légèrement sur les affaires graves,
Pour traiter un rien gravement ;
Se montrer tour à tour dissimulé, sincère,
Timide, audacieux, crédule, méfiant ;
Trembler, en tout sacrifiant,
De n’en point encore assez faire ;
Soupçonner les amis qu’on devrait estimer ;
Être le jour, la nuit, en guerre avec soi-même ;
Voilà ce qu’on se plaint de sentir quand on aime,
Et de ne plus sentir quand on cesse d’aimer.
2. bernardnowman le 15-10-2024 à 13:04:25 (site)
magnifique article et jolii poème mon amour (l)
je t'aimeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
1. bernardnowman le 12-10-2024 à 12:47:28 (site)
magnifique article mon amour (l)
jolies couleurs
je t'aimeeeeeeeeeee (l) my always d'amour (l) à moi
1. gladys-lemire le 07-10-2024 à 15:42:47 (site)
poéme
Dans l’ombre de ce vallon
Pointent les formes légères
Du Rêve. Entre les bourgeons
Et du milieu des fougères
Émergent des fronts songeurs
Dans leurs molles chevelures,
Et des mamelles plus pures
Que le calice des fleurs.
Ô rêve, de cette écorce
Dégage ton souple torse,
Tes deux seins roses et blancs,
Et laisse dans le branchage
Retomber le long feuillage
De tes cheveux indolents.
Ne sors jamais qu’à demi
De cette écorce native
Et reste à jamais captive
De ce silence endormi,
Ô Beauté triste et pensive.
2. BernardNowman le 07-10-2024 à 15:50:11 (site)
magnifique article mon amour (l) et jolii poème
je t'aimeeeeeeeeeee (l) ma chouchounette d'amour (l) à moi
1. gladys-lemire le 05-10-2024 à 16:46:50 (site)
poeme
Près des ruisseaux, près des cascades,
Dans les champs d’oliviers fleuris,
Sur les rochers, sous les arcades
Dont le temps sape les débris,
Sous les murs du vieux monastère.
Dans le bois qu’aime le mystère,
Sous l’ombre du pin solitaire,
Sous le platane aux frais abris ;
A l’heure où, sous l’humble chaumière.
Le chevrier prend son repas,
A l’heure où brille la lumière,
A l’heure où le jour ne luit pas ;
L’été, quand sous le vert ombrage
Tu viens t’asseoir après l’ouvrage :
L’hiver, par le froid, par l’orage ;
Toujours, partout, je suis tes pas.
Lorsque les cloches argentines
Réveillent l’oiseau dans son nid,
C’est moi qui te suis à matines :
Et quand la prière finit.
Au sortir du temple gothique,
C’est moi qui vais sous le portique
T’offrir, suivant l’usage antique.
L’eau sainte et le rameau bénit.
2. gladys-lemire le 05-10-2024 à 16:48:05 (site)
love you me love
3. bernardnowman le 05-10-2024 à 16:50:57 (site)
magnifique article mon amour (l) et joliii poème
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour (l) à moi
Commentaires
1. gladys-lemire le 16-10-2024 à 17:01:51 (site)
Alloween
La véritable origine d'Halloween remonte à la fête païenne celtique de Samhain. Les Celtes, vivant dans l'actuelle Irlande et au nord de la France, célébraient cette fête pour marquer la fin de l'été et le début de l'hiver, une période souvent associée à la mort dans de nombreuses cultures.
2. BernardNowman le 16-10-2024 à 17:11:58 (site)
3. gladys-lemire le 16-10-2024 à 17:50:53 (site)
4. gladys-lemire le 17-10-2024 à 14:30:45 (site)
Halloween
Il s'agit de la contraction de l'expression anglaise « All Hallows Eve » qui signifie « La veille de tous les saints ». Son origine remonte à plus de 2500 ans sous le nom de la fête de Samain. Cette fête celte et gauloise était célébrée pour accueillir la nouvelle année mais aussi les esprits des défunts.