1. gladys-lemire le 23-11-2024 à 13:37:06 (site)
poeme
ce soir, ma machine à tisser les songes se dérobe
devant la tragédie cosmique de la vie ;
à ma toile se prennent les petits, les sans-grade,
les humbles
ils crient : où est ton arc-en-ciel?
et je rêve que dieu existe
ce soir me vient l’envie d’écarter d’un revers de la main
des poèmes d’espoir que personne ne lira
ne lyra
mais les humbles me crient: Villebramar! Villebramar!
que fais-tu de ton soleil?
Alors me relevant je pose le métier sur la table
et j’attends,
les humbles, toujours m’interpellant :
où est ton arc-en ciel?
Ce soir, à ma toile se prennent
les petits, les sans-grade, les humbles,
et je rêve que dieu existe
2. gladys-lemire le 23-11-2024 à 13:38:11 (site)
très joli images
3. BernardNowman le 23-11-2024 à 14:10:19 (site)
magnifique article et joli poeme mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeee (l) my wife d'amouralways (l) à moi
1. gladys-lemire le 22-11-2024 à 13:13:28 (site)
poeme
Il est auprès de moi, sa main presse ma main,
Sa bouche s’embellit du plus charmant sourire,
Son teint s’anime, je soupire,
Sa tête mollement vient tomber sur mon sein ;
Là je respire son haleine,
Son haleine en parfum plus douce que la fleur.
De ses bras l’amoureuse chaîne
Rapproche mon cœur de son cœur ;
Bientôt nos baisers se confondent,
Ils sont purs comme nos amours :
Nous demeurons sans voix ;
Seuls nos yeux se répondent ;
Ils se disent tout bas :
Toujours, toujours, toujours !
2. bernardnowman le 22-11-2024 à 13:29:06 (site)
magnifique article et jolii poeme mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeee (l) ma ptite femme d'amour always (l) à moi
1. gladys-lemire le 20-11-2024 à 13:54:26 (site)
Poeme
Je suis avec toi âme sincère et cœur pur
Egaré dans le dédale de ta forêt obscure
Cherchant en aveugle la clairière de l’être
Je suis le compagnon qui a travaillé comme toi
A qui tu peux dire tes espoirs et désirs secrets
Je t’apporte les forêts les mers les montagnes
Je suis avec toi quelles que soient tes erreurs
Dans tes yeux sont gravés tes rêves ta nostalgie
Toute l’innocence perdue depuis l’enfance
Cette absence de pureté que tu ne vois plus
C’est ainsi que la mort arrive avant l’heure
Je suis ton compagnon en perpétuelle révolte
Et si la société a tué en toi cette faculté
Je te dis que les prés fleuris t’appartiennent
Je suis avec toi partout où tu es esseulé
Je t’attends aux estuaires de ta résignation
Tu imagines les routes du vent les joies du monde
Au nom de l’espoir je t’offre amour et amitié
Pour soumettre ton désir au rythme du cosmos
Je suis avec le berger qui t’attend près de ta source.
2. BernardNowman le 20-11-2024 à 14:09:48 (site)
magnifique artcle et joli poeme mon amour (l)
je t'aimeeeeeeeeee (l) my wife d'amour always (l) à moi
1. gladys-lemire le 18-11-2024 à 19:13:55 (site)
love you me little heart to me
2. BernardNowman le 18-11-2024 à 19:21:27 (site)
magnifique article mon amour (l)
je t'aimeeeeeeee (l) my always d'amour (l) à moi
3. gladys-lemire le 18-11-2024 à 20:47:06 (site)
poeme
Près des ruisseaux, près des cascades,
Dans les champs d’oliviers fleuris,
Sur les rochers, sous les arcades
Dont le temps sape les débris,
Sous les murs du vieux monastère.
Dans le bois qu’aime le mystère,
Sous l’ombre du pin solitaire,
Sous le platane aux frais abris ;
A l’heure où, sous l’humble chaumière.
Le chevrier prend son repas,
A l’heure où brille la lumière,
A l’heure où le jour ne luit pas ;
L’été, quand sous le vert ombrage
Tu viens t’asseoir après l’ouvrage :
L’hiver, par le froid, par l’orage ;
Toujours, partout, je suis tes pas.
Lorsque les cloches argentines
Réveillent l’oiseau dans son nid,
C’est moi qui te suis à matines :
Et quand la prière finit.
Au sortir du temple gothique,
C’est moi qui vais sous le portique
T’offrir, suivant l’usage antique.
L’eau sainte et le rameau bénit.
Quand, vers la fin de la journée,
Tu vas près du saint tribunal,
Devant l’ermite prosternée.
Incliner ton front virginal,
C’est moi qui d’un air humble et tendre.
Quand l’Angélus s’est fait entendre,
Esclave assidu, vais t’attendre
Auprès du confessionnal.
Viens, je te dirai le cantique
Que je suis allé, ce matin.
Choisir pour toi dans la boutique
D’un colporteur napolitain,
Et contre la dent meurtrière
Des loups errants dans la clairière,
Je t’apprendrai quelle prière
Il faut réciter en latin.
Je mettrai dans ton oratoire
Un missel à fermoirs dorés,
Où des moines ont peint l’histoire
De nos anciens livres sacrés ;
Des apôtres les douze images,
La bonne Vierge, et les trois Mages
Au Christ apportant leurs hommages,
Et baisant ses pieds adorés.
Oh, regarde-moi sans colère !
Promets-moi que tu m’aimeras :
Ne me défends pas de te plaire,
Laisse-toi serrer dans mes bras !
Que cette froideur t’abandonne ;
A péché secret Dieu pardonne,
Et je mettrai sur ta madone
Le voile que tu quitteras.
Commentaires
1. bernardnowman le 25-11-2024 à 19:43:56 (site)
magnifique article mon amour (l)
je t'aimeeeeeeee (l) my always d'amour (l) à moi
2. gladys-lemire le 25-11-2024 à 21:07:01 (site)
poeme
Pourquoi, tout à coup, quand tu joues,
Ces airs émus et soucieux ?
Qui te met cette fièvre aux yeux,
Ce rose marbré sur les joues ?
Ta vie était, jusqu’au moment
Où ces vagues langueurs t’ont prise,
Un ruisseau que frôlait la brise,
Un matinal gazouillement.
3. gladys-lemire le 25-11-2024 à 21:08:41 (site)
jtaime me little heart to me always